Me voilà à un point de non retour au sujet de la production du magazine numérique du yoga sur lequel je travaille.
Ce billet crie haut et fort le message suivant: Soyez patient avec moi. Faites-moi confiance. Ce qui est en plein chantier de construction semble compliqué, désorganisé, non conventionnel et carrément inutile alors qu'en réalité ce n'est pas le cas. Quand on dépoussière un espace inhabité, au début, on n'y voit pas clair.
Cet espace titré Daniel en liberté sert à mettre les points sur les i. C'est mon jardin secret, l'espace ou je dis vraiment ce que je pense. Cet espace sert aussi à annoncer ce qui est sur le point de se produire. Par exemple, comme je l'affiche ici-haut, ce sur quoi je travaille. Comme quand je médite, je peux faire le point sur ce qui se passe dans ma tête. Suis-je simplement un yogi solitaire, un gars qui fuit vers l'avant, une personne qui cherche a laisser sa marque avec des écrits invisibles? Je refuse de me laisser influencer par mon Égo. Je refuse de me taire. Je refuse d'échouer. Et pourtant, avec l'âge, tout cela devient futile.
J'ai fait une vidéo qui est trop longue. Çà m'as pris un temps fou de la publier au groupe des 10 profs qui ont acceptés d'écrire pour le magazine. J'étais rendu a ce moment décisif, comme mentionné dans mon titre, à un point de non retour ou je devais lui dire: Voici ou j'en suis, voici comment le magazine sera publié, voici la technologie que je mets à votre service et vous demande d'utiliser pour soumettre votre prochain article. Au début, la dite vidéo durait plus de 40 minutes. J'ai coupé dans le gras. J'ai ajouté des sous-titre et vlan, ils ont reçu une captation qui explique le système Wiki de ce site afin qu'ils puissent eux aussi sentir la liberté d'être souverain.
Le moment fut difficile, celui d'inter représenter toutes et tous mutuellement. Je vous les présente ici en primeur car il me semble que la vague de yoga partout n'a pas créé de tsunami et c'est bien ainsi, je voulais faire le moins de bruit. Voici donc ci-dessous le premier module, celui des inscriptions ou chacun et chacune peuvent choisir un professeur de yoga qui vous expédiera un article tout frais, tout neuf.
Je ne vous les présenterai pas toutes et tous individuellement, ils le feront par eux-mêmes.. très bientôt. Voilà la beauté des médias sociaux, le DIY (faire par soi-même, le français de Do It Yourself). De faire par soi-même peut déplaire à certaines et certains sauf que l'humanité en est rendu à cette étape dans son évolution. Certains trouvent que les médias sociaux représentent une crise de nombrilismes alors que d'autres y voient la planche de salut qu'ils attendaient depuis des décennies. En ce qui me concerne, le plus important pour moi c'est de demeurer sain d'esprit, c'est-à-dire de vivre une vie équilibré (métro, boulot, dodo: c'est fini pour moi, je fais ce qui me passion, je pratique le yoga de la communication, le Jnana Yoga en quelque sorte et je continue de vivre entre deux déséquilibres.
J'ose ici même parler d'un sujet tabou au point ou je cherche des synonymes au mot "mort" parce-que je ne veux pas qu'il y ait de la mésinterprétation. Discuter de la fin de vie ne devrait pas être un sujet qui gêne ou qui dérange. Quand j'ai fait ma première entrevue avec Claude Maréchal, c'est ce qui en est ressorti: comment se préparer à mourir. Vous pouvez visionner cette vidéo sur YouTube: Comment le yoga peut-il aider une personne à se préparer pour une fin de vie.
J'ai osé et invité les chroniqueurs du magazine numérique de se pencher sur ce sujet. Certains vont et ont acceptés, d'autre préfèrent présenter leur thématique, produire la suite de leur premier article. Par exemple, la méthode d'Aplomb de Nathalie Perret peut-elle me sauver de la douleur? Les sutras de Daniel Pineault peuvent-ils apaiser mes questionnement sur ce qui se passe de l'autre côté. Y a t'il moins de souffrance ailleurs, chez le voisin? Ce problème gigantesque peut-il être résolu grâce à la sagesse du groupe qui se penche sur cette question? J'ose espérer que le secret de la vie et de la mort sera tout au plus vu et ressenti comme quelque chose de "non interdit". Peut-on parler de la mort et s'y préparer sans être jugé comme une personne qui pense au suicide? Voilà autant de questions qui cherchent des réponses.
Les textes de l'Inde le disent: Sukham Aksayam Asnute:
Je dois avouer que l'article de Sita est sublime. Par contre, point de vue technologique, j'ai installé et testé un nouveau module qui, disons les choses comme elles sont, ne fonctionnement pas très bien. Le sondage demandait la question: Quel serait d'après-vous le prix juste pour le magazine qui va bientôt sortir? Voici ci-dessous le lien, l'image qu'on clique pour aller vers le dit sondage au cas ou vous n'avez pas vu quel est cette question que je demande.
Je relance donc une dernière fois la même question pour cette et ceux qui voudraient me dire ce qu'ils pensent.
J'ai découvert que je suis humain et pas a peu près lorsque j'avais 3 mois. Un site web ça prends du temps à construire.
Comme je le disais dans l'info lettre qui avouait ma lenteur, j'aime la vie et j'aime les défis.
J'ai découvert les canaux de diffusion sur les fils RSS (un peu d'anglais, je vous l'accorde) tel la vidéo, la radio, la publication de textes... les objets sociaux comme j'aime sur le tard. J'ai cherché de l'information fiable sur la planète et j'ai découvert que tous les canaux de podcasting s'arrachent les auditeurs. Les uns disent qu'ils sont plus gros, les autres disent qu'ils sont meilleurs. Toutes et tous veulent m'attirer à dire à propos d'eux: nous avons gagné la bataille, comme si j'étais à Kurushestru, le champ de bataille ou Arjuna devait affronter ses ennemis. Sauf qu'en réalité, je ne crois pas que la question se trouve au niveau des chiffres. La question c'est la réponse sur internet et celle-ci ce trouve dans la possibilité de trouver du contenu unique et de qualité et d'avoir confiance dans ce qui est diffusé est authentique et véritablement aidant. La créativité des uns fait qu'ils existe plusieurs canaux de diffusion, je vous les présente ici-même. Tous mènent vers le même endroit, la plateforme en média social de yoga partout.
Voyez le canal radio que j'ai ouvert pour vous donnere une idée